Enfants disparus dans la jungle colombienne : les images des recherches alors que le mystère s’épaissit
Le mystère tient en haleine la Colombie. Un aéronef qui transportait sept passagers, a disparu des radars le 1er mai dans les environs de San José del Guaviare au sud du pays. L’appareil a finalement été retrouvé à la verticale, le nez écrasé au sol dans une végétation dense. Trois corps ont été récupérés par les secours, ceux du pilote, de la mère des enfants et d’un dirigeant de la communauté indigène Uitoto, à laquelle appartenaient les passagers. Mais où sont les quatre enfants ?
L’espoir de les retrouver vivants a été entretenu par la découverte d’effets personnels près de l’avion, dont un biberon, ainsi que des fruits en partie mangés. Aidés de chiens renifleurs, des militaires ont également découvert mercredi un « abri de fortune fait de bâtons et de branches ». Selon le grand-père des enfants, Fidencio Valencia, ces derniers « ont l’habitude d’être dans la jungle », mais ils auraient pu se cacher, par peur, après l’accident. Retour en images sur les recherches en cours.
Une centaine de militaires, épaulés par des chiens renifleurs, ont été déployés
AFP PHOTO / ARMÉE COLOMBIENNE
Un soldat se tient au côté d’un médecin légiste, à proximité de l’épave
AFP PHOTO / COLOMBIAN ARMY
Le président colombien, Gustavo Petro, a annoncé puis démenti la découverte des quatre enfants
REUTERS/Luisa Gonzalez
Lors de ses recherches, l’armée colombienne a retrouvé un biberon
AFP PHOTO / COLOMBIAN ARMY
Une paire de ciseaux retrouvée par des chiens renifleurs
AFP PHOTO / COLOMBIAN ARMY
Les militaires ont aussi constaté des empreintes de pas dans la forêt
AFP PHOTO / COLOMBIAN ARMY
Pour Fidencio Valencia, grand-père des disparus, les enfants ont « l’habitude d’être dans la jungle »
AFP/ Leonardo Solano
De curieux déchets retrouvés par les militaires dans la forêt
AFP PHOTO / COLOMBIAN ARMY
L’appareil retrouvé écrasé, au milieu de la forêt
AFP PHOTO / COLOMBIAN ARMY
Les recherches se poursuivent dans l’immense jungle colombienne
Source: Le Parisien
