Anthony Mateo, épinglé par la DGCCRF, lui fait un clin d’œil dans son premier tatouage
Capture @anthonymateo_off TikTok Capture @anthonymateo_off TikTok
RESEAUX SOCIAUX - Un premier tatouage chargé d’ironie et un peu d’amertume ? L’influenceur Anthony Mateo, épinglé au début du mois par la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) pour pratiques commerciales trompeuses, prend visiblement cette affaire avec humour.
Dans une vidéo sur Tik Tok, repérée par le journaliste Vincent Manilève, spécialiste des réseaux sociaux, Anthony Mateo annonce qu’il est sur le point de se faire tatouer pour la première fois alors qu’il se trouve à Bali. Filmé pendant le processus de création, l’influenceur dévoile finalement son triceps désormais tatoué du hashtag « #sponsorisé ».
Vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers en vous abonnant. Vous ne pourrez donc pas lire nos vidéos qui ont besoin de cookies tiers pour fonctionner.
Vous utilisez un bloqueur de publicité. Nous vous conseillons de le désactiver afin d’accéder à nos vidéos. Si vous n'êtes dans aucun de ces deux cas, contactez-nous à aide@huffingtonpost.fr Vous ne pouvez pas visionner ce contenu car :
Vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers en vous abonnant. Vous ne pourrez donc pas lire nos vidéos qui ont besoin de cookies tiers pour fonctionner.
Vous utilisez un bloqueur de publicité. Nous vous conseillons de le désactiver afin d’accéder à nos vidéos. Si vous n'êtes dans aucun de ces deux cas, contactez-nous à aide@huffingtonpost.fr Vous ne pouvez pas visionner ce contenu car :
« Je fais vraiment ça pour le public », assure-t-il, hilare et visiblement très fier de son idée. « Au moins je ne l’oublierai plus », conclut-il.
Le gouvernement en lutte contre les pratiques commerciales trompeuses
Anthony Mateo fait partie des influenceurs épinglés par l’exécutif, en pleine offensive du gouvernement contre les pratiques commerciales trompeuses sur les réseaux sociaux. Six d’entre eux ont été contraints d’afficher sur les réseaux sociaux un message rédigé par la Répression des fraudes (DGCCRF).
Vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers en vous abonnant. Vous ne pourrez donc pas lire nos vidéos qui ont besoin de cookies tiers pour fonctionner.
Vous utilisez un bloqueur de publicité. Nous vous conseillons de le désactiver afin d’accéder à nos vidéos. Si vous n'êtes dans aucun de ces deux cas, contactez-nous à aide@huffingtonpost.fr Vous ne pouvez pas visionner ce contenu car :
Ce dernier indique en substance que l’influenceur « N’indique pas l’intention commerciale de ses publications à visé publicitaire » et « donne l’impression qu’un service d’injections d’acide hyaluronique réalisé par une esthéticienne ne disposant pas de la qualité de médecin est licite alors qu’il ne l’est pas ».
Vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers en vous abonnant. Vous ne pourrez donc pas lire nos vidéos qui ont besoin de cookies tiers pour fonctionner.
Vous utilisez un bloqueur de publicité. Nous vous conseillons de le désactiver afin d’accéder à nos vidéos. Si vous n'êtes dans aucun de ces deux cas, contactez-nous à aide@huffingtonpost.fr Vous ne pouvez pas visionner ce contenu car :
Les messages rédigés par la DGCCRF sont publiés alors que le Parlement a définitivement adopté jeudi 1er juin une proposition de loi destinée à mieux encadrer le secteur des influenceurs, dont le nombre est estimé à 150 000 en France. Le texte interdit notamment la promotion de certaines pratiques comme la chirurgie esthétique et restreint la promotion des jeux d’argent et de hasard.
Anthony Matéo a, lui, proposé des prestations d’injections d’acide hyaluronique par une esthéticienne, alors que c’est un acte médical.
À voir également sur Le HuffPost :
Source: Le HuffPost
