Le salaire fou de Victor Wembanyama en NBA
Promis au premier choix de la draft NBA, Victor Wembanyama va toucher le jackpot en rejoignant les Spurs.
L’avenir de Victor Wembanyama est déjà écrit. Il ne fait en effet aucun doute depuis plusieurs mois que l’intérieur tricolore sera le premier choix de la draft, la nuit prochaine. Et depuis la loterie qui s’est tenue le 17 mai dernier, il est donc acté que l’ancien Parisien évoluera la saison prochaine à San Antonio. Les Spurs ont en effet hérité du premier choix lors de la loterie et ne comptent pas passer à côté de celui qui est présenté comme le « plus grand prospect de toute l’histoire de la NBA ».
Assuré d’être le premier choix de la draft, et ce malgré la concurrence de Scoot Henderson et Brendon Miller, Victor Wembanyama signera, début juillet, son premier contrat NBA. Un bail de deux saisons assorti de deux autres années en option et d’un salaire très confortable. Et le natif du Chesnay dans les Yvelines connaît même déjà peu ou prou son futur salaire.
Cette saison, le numéro un de la draft aura en effet droit pour sa première année dans la Ligue à un salaire annuel de 10,132 millions de dollars, soit 9,22 millions d’euros. Dans les faits, les équipes peuvent choisir de donner entre 80 et 120% de ces sommes et les franchises accordent quasi systématiquement 120% de ce « rookie scale ». Victor Wembanyama peut donc espérer percevoir 12,158 millions de dollars (11,07 millions d’euros) lors de sa première saison, 12,766 millions de dollars (11,62 millions d’euros) lors de sa deuxième année puis 13,374 millions de dollars la troisième année (12,18 millions d’euros) et enfin 16,865 millions de dollars (15,35 millions d’euros) pour sa dernière saison.
Au total, ce sont donc quelque 55 millions de dollars (50 millions d’euros) que l’intérieur tricolore devrait percevoir ses quatre prochaines années. Un joli pactole pour celui qui touchait autour de 200 000 euros chez les Mets. Et ces émoluments ne devraient rapidement constituer que la partie émergée de l’iceberg. La vente de son image, compte-tenu de sa popularité outre-Atlantique, devrait lui permettre, là aussi, d’affoler les compteurs.
Source: Sports.fr
