Patrick Poivre d’Arvor : ce détail inhabituel dans l’avis de décès de sa femme Véronique
Patrick Poivre d’Arvor est en deuil. Sa femme, Véronique, est morte. L’annonce a été faite dans les colonnes du Figaro. Et un détail quelque peu inhabituel s’est glissé dans la triste nouvelle. « Patrick, son époux, Dorothée, Arnaud, Morgane, ses enfants, Tiphaine, Solenn, Garance, ses enfants disparus, François, Gwénaëlle, Tristan, Maël, Jeremy, Joachim, Alexandre, Charles, Blanche, ses petits-enfants, Nino et Alba, ses arrière-petits-enfants, ont l’immense tristesse de faire part du décès de Véronique Poivre d’Arvor, survenu le 24 juin 2023 à Neuilly-sur-Seine », peut-on lire. L’avis nécrologique précise : « Ses obsèques ont eu lieu le 29 juin, à Trégastel (Côtes-d’Armor), où elle repose désormais. »
C’est en 1962 que Véronique Courcoux rencontre Patrick Poivre d’Arvor. Elle a 20 ans, lui en a 15. Malgré les réticences des deux familles, le couple tient bon. C’est en 1971 qu’ils se marient à Neuilly-sur-Seine. Si lui, se consacre à son métier de journaliste, Véronique Poivre d’Arvor va s’occuper de ses enfants à plein temps : Dorothée, née en 1963, Arnaud, né en 1972, Solenn, née en 1975 et Morgane en 1981. Malheureusement, de nombreux drames vont toucher cette famille. En 1974, leur fille Tiphaine, leur troisième enfant, succombe à la mort subite du nourrisson. Garance, cinquième de la fratrie, naît sans vie en 1980. Quinze ans plus tard, la jeune Solenn, qui se bat contre l’anorexie va tenter de se suicider.
Les confidences de Véronique sur son mari Patrick Poivre d’Arvor
À l’âge de 19 ans, elle succombera par la suite à ses blessures à l’hôpital. Dans sa lettre d’adieu, elle écrivait : « Merci pour tout mais je n’aime pas la vie. Je veux être incinérée et gardée dans une petite boîte, mais pas jetée à la mer. » En 1998, Véronique Poivre d’Arvor indiquait : “Je suis certainement, peut-être, celle qui le connaît le plus. Mais il est impossible à connaître vraiment. C’est quelqu’un de très secret, de très indépendant, qui aime sa liberté avant tout. (…) Quelqu’un de très, très complexe. Je n’aurai pas assez de toute ma vie pour le connaître”
Source: Closer France