gros quiproquo entre Christophe Dechavanne et Léa Salamé dans "Quelle époque!"

April 30, 2023
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Samedi soir sur France 2, la présentatrice n'a pas caché sa surprise face à l'entrée remarquée de son invité permanent.

Le malaise a été évité de justesse. Samedi soir, Léa Salamé animait un nouveau numéro de «Quelle époque!». Comme le veut la tradition du talk-show nocturne, la présentatrice s'installe en plateau et annonce l'entrée de son invité permanent, Christophe Dechavanne.

Hier soir, ce dernier a fait une entrée fracassante qui a provoqué un sacré malentendu. À mesure qu'il passait devant le public pour le saluer, une femme l'a interpellé du bout des lèvres. Des mots non audibles à l'écran qui ont poussé l'animateur à se rapprocher avant de se retrouver enlacé par le bras de cette femme.

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Si cette proximité physique a, dans un premier temps, éloigné Christophe Dechavanne, ce dernier est rapidement revenu vers la dame pour l'embrasser. L'angle de la caméra ne les a montrés que brièvement de dos, caché par un homme également installé dans le public. Un mauvais point de vue tant pour les téléspectateurs que pour Léa Salamé qui s'est exclamée dès l'arrivée de son acolyte à son fauteuil.

«La dame était demandeuse»

«On arrête, on arrête», a-t-elle lancé pour mettre un terme aux applaudissements, avant de demander à Christophe Dechavanne s'il «venait de faire un smack à la dame du public». «C'est ma mère», a rétorqué le principal concerné pour couper court à la discussion.

C'était sans compter sur la dame du public qui a elle-même rétabli la vérité en criant à Léa Salamé que le bisou avait été fait «sur la joue». Comprenant le quiproquo, la présentatrice s'est alors empressée de justifier sa question.

«Je croyais qu'il vous avait embrassé de force et qu'il se croyait encore en 1990», a-t-elle avoué d'un ton soulagé. De son côté, Christophe Dechavanne n'a cessé d'entrecouper la phrase de l'animatrice de «non» exclamatifs. «La dame était demandeuse et j'ai fait attention», a-t-il expliqué en guise de conclusion.

Source: Le Figaro