" 8 rue de l’humanité " sur TF1. Ce qu’il faut savoir sur le film Netflix de Dany Boon
Ce dimanche 2 juillet 2023, une comédie initialement mise en ligne sur Netflix sera diffusée sur TF1 dès 21 h 10 : 8 rue de l’Humanité. Dans ce long-métrage, du même genre que Supercondriaque (2014), nous retrouvons Dany Boon dans la peau d’un homme atteint d’hypocondrie, la crainte excessive d’être malade, en pleine pandémie. À ses côtés, les spectateurs retrouvent François Damiens, Yvan Attal, Nawell Madani ou encore Alison Wheeler.
C’est en automne 2021 qu’était sorti ce film signé Dany Boon, sur Netflix. À l’époque, la comédie n’avait pas rencontré le succès escompté sur le service de streaming. La presse n’avait par ailleurs pas été tendre avec la septième réalisation de l’humoriste de 57 ans. Nous avions nous-même déclaré dans notre critique que cette dramédie est un peu trop répétitive dans les clichés et qu’il « manque quelque chose ». Le succès sera-t-il malgré tout au rendez-vous sur TF1 ?
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De quoi parle la comédie « 8 rue de l’Humanité » ?
8 rue de l’Humanité plonge le public en plein cœur d’un Paris vide en conséquence de la Covid-19. Tandis que certains sont partis en province, d’autres se sont confinés dans la capitale. C’est notamment le cas de sept familles habitant dans un immeuble du 11ᵉ arrondissement, au 8 rue de l’humanité. On y découvre la vie devenue compliquée de la patronne d’un bistrot, d’un scientifique un peu trop ambitieux, d’une mère de famille avocate, d’un coach sportif en ligne, d’une femme enceinte et chanteuse ou encore d’un hypocondriaque. C’est Dany Boon qui incarne ce dernier.
Une comédie inspirée de la vraie vie de Dany Boon
En plus de jouer dedans, Dany Boon a également écrit, réalisé et produit ce film, avec l’aide de sa compagne Laurence Arné. Et pour les besoins du long-métrage, le couple n’a pas hésité à s’inspirer de sa propre expérience pendant le confinement. Invité dans Sept à Huit en 2021 pour la sortie du film, le comédien avait ainsi expliqué qu’il avait lui-même abusé de l’utilisation du thermomètre pendant l’épidémie de Covid.
« Comme le facteur température était très important, je prenais la température de tout le monde », avait-il confié, ajoutant qu’il utilisait alors un thermomètre « pistolet » et qu’il devait « changer de pile à peu près tous les trois jours ». Puis d’ajouter, sans tabou : « Je le fais dans le film mais c’est par rapport à ce que j’ai fait dans la vie. Je prenais la température de tout le monde, tout le temps. Au bout d’un moment ça a un peu énervé mes proches, donc j’ai enlevé le petit bip. J’ai réussi à le trouver dans le menu. Du coup, je la prenais de nuit, quand les personnes dormaient (rires). C’est vrai en plus, c’est horrible. J’ai honte. »
8 rue de l’Humanité, ce dimanche 2 juillet à partir de 21 h 10 sur TF1.
Source: Programme TV Ouest-France
