Tour de France : une vraie journée en enfer entre Vulcania et Issoire
Quelques minutes après l’arrivée, Romain Bardet est descendu du car de la DSM livide et exténué. Le grimpeur avait juste la force d’échanger quelques sourires avec les supporters auvergnats venus le saluer. Il n’avait pas la force de faire plus. Juste en face est stationné le véhicule de la Soudal - Quick Step. Littéralement avachi sur son vélo, Julian Alaphilippe ne peut décrocher un mot. Les coureurs arrivent grappe par grappe, les joues creusées par l’effort. Sur les boulevards issoiriens, on se croirait presque dans une station alpestre après une étape de haute montagne.
Source: La Montagne