" Scènes de ménages " sur M6 : Gérard Hernandez a repris le tournage, après la disparition de Marion Game

July 21, 2023
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Ils formaient ensemble l’un des couples préférés du public de M6. Présents à l’écran depuis plus de 13 ans, chaque jour après le JT. À s’écharper avec beaucoup d’humour pour le plus grand plaisir des téléspectateurs. Au printemps dernier, la série à sketchs « Scènes de ménages » était en deuil après la disparition de la comédienne Marion Game, décédée à l’âge de 84 ans. Depuis, conformément à la volonté de sa famille, les téléspectateurs avaient pu revoir des anciens sketchs comme des inédits tournés par l’actrice pendant les mois précédant sa disparition.

Mais restait en suspens la question de l’avenir de son partenaire à l’écran, Gérard Hernandez. À l’approche du lancement de la quinzième saison de la fiction humoristique quotidienne, prévu à partir de la fin août, Raymond allait-il pouvoir continuer ses saynètes sans Huguette ? La réponse est finalement… oui. Selon nos informations, le comédien de 90 ans a repris ces dernières semaines les tournages de la série courte quotidienne de la Six, pour de nouvelles séquences à découvrir rapidement à l’antenne.

Le comédien Patrick Préjean comme nouveau voisin

« Gérard est quelqu’un d’extrêmement important pour la série, comme pour le public. Il sera très présent dans la nouvelle saison, nous confirme Guillaume Charles, le directeur des programmes du Groupe M 6. Il souhaite vraiment continuer à être impliqué sur la fiction et à tourner. Et c’est important, pour lui comme pour nous, de continuer à l’avoir dans Scènes de ménages. »

Dans cette nouvelle vie pour le bougon Raymond, sans sa « Gué-Guette » chérie, des scènes avec le personnage seul seront proposées. Ainsi que d’autres, avec de nouveaux invités chargés de faire quelques apparitions occasionnelles. Le comédien Patrick Préjean a notamment affirmé à France Dimanche rejoindre la série le temps de quelques petites séquences, pour incarner un nouveau voisin, promettant quelques « situations extraordinaires à défendre. »

Source: Le Parisien