"La Madrague", son immense demeure à Saint-Tropez
Brigitte Bardot est propriétaire d'une somptueuse villa à Saint-Tropez, "La Madrague". Une demeure à plusieurs millions de francs achetée dans les années 50.
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Brigitte Bardot est au plus mal. Selon les informations de BFMTV, l’icone du cinéma français a été prise en charge par les pompiers ce mercredi 19 juillet alors qu’elle se trouvait chez elle à Saint-Tropez. C’est dans Var-Matin que son mari Bernard d’Ormale, a donné des nouvelles sur son état de santé : « Il était aux environs de 9 heures lorsque Brigitte a eu du mal à respirer. C’était plus fort que d’habitude, mais elle n’a pas perdu connaissance pour autant. Appelons ça un moment d’égarement respiratoire ». Des nouvelles certes, rassurantes, mais qui ne laissent tout de même rien présager de bon pour BB. L’actrice a été prise en charge à son domicile, « La Madrague », une magnifique villa dans le Var.
« La Madrague », c’est l’histoire d’une maison iconique dans le sud de la France. Brigitte Bardot est devenue sa propriétaire en 1958 au prix de 24 millions d’anciens francs, soit environ 468 365 euros en 2022. Un véritable havre de paix pour l’actrice. Qui a d’ailleurs inspiré la célèbre chanson dont les paroles sont connues de tous. A savoir : « Sur la plage abandonnée, coquillages et crustacés… ». « La Madrague », propriété tropézienne de Brigitte Bardot est située sur la route des Canebiers. Une demeure devenue très prisée par les touristes au fil du temps. A tel point qu’elle est également devenue un refuge assiégée par les paparazzis.
Brigitte Bardot à propos de « La Madrague » : « Ça devient invivable »
Et cette appétence pour « La Madrague » de la part des touristes a causé bien des soucis à Brigitte Bardot. En 1991, l’actrice déclarait à ELLE : « La Madrague, c’est moi. Emmerdements compris. Les gens viennent m’enquiquiner ici du 1er janvier à la Saint-Sylvestre […] Elle serait parfaite si elle n’était pas envahie par le public. Ça devient invivable ». C’est d’ailleurs pour cette raison que l’icone du cinéma français y a fait construire des murs en prolongement des limites de son terrain. En plus de poteaux en bétons installés par la mairie autour de sa propriété tropézienne. Et selon Le journal de la maison, toute personne qui déplacera les poteaux risquent six mois de prison et 3 750 euros d’amende. Ce qui n’empêche pas à Brigitte Bardot de vouloir être enterrée auprès de ses animaux à « La Madrague ».
Source: melty