Au procès des geôliers de l’Etat islamique, le sourire des gardiens du centre de torture d’Alep
Les audiences se succèdent et l’on a fini par se faire une raison. On ne sortira pas des sous-sols du centre hospitalier d’Alep. On ne quittera pas ses couloirs blafards, ses portes métalliques, ses grilles, ses soupiraux, ses gardes sadiques, ses pr... [1961 chars]
Source: Le Monde