"Sauvons les Kevin" : les parias se rebiffent
Et si c’était le blase de la malédiction sociale ? «Si j’avais su qu’un jour un Kevin me rapporterait plus de 2 millions d’euros !» balance par exemple un proprio à un agent immobilier qui a géré son bien. Rassurez-vous, le prénom en détresse, qui ne... [2546 chars]
Source: Libération