Pièce vaine, scénographie d’une troublante laideur… Nos déceptions du Festival d’Avignon 2023
Le Festival d’Avignon nous réserve chaque année son lot de bonnes surprises… et également quelques déceptions. Des choix artistiques parfois déroutants qui interrogent nos critiques.
« Marguerite : le feu », mis en scène par Emilie Monnet. Photo Christophe Raynaud de Lage
Par Emmanuelle Bouchez, Fabienne Pascaud Partage
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Au milieu de stimulantes découvertes, audaces et prises de risques, certains choix du Festival d’Avignon, comme chaque été, interrogent. Pourquoi tel spectacle ? Quel équilibre esthétique, politique, sociétal cherche donc, en l’invitant, sa direction artistique ? Retour sur quelques créations décevantes de cette 77e édition, dont la programmation, ce 12 juillet, vient pour plusieurs d’entre elles de s’achever…
Bonne volonté ostensiblement « correcte », en programmant au Théâtre Benoît-XII Marguerite : le feu, de l’artiste multidisciplinaire Émilie Monnet, d’origine anichinabée et française, née à Montréal en 1978. À grand renfort de danses authentiques, typiques, en vilains
Source: Télérama.fr