Audrey Fleurot (HPI): ses confidences bouleversantes sur ses plus gros complexes !
Audrey Fleurot, la star de HPI, a fait des confidences assez bouleversantes au sujet de ses plus gros complexes !
Pour le plus grand plaisir des fans, TF1 a diffusé un nouvel épisode de HPI ce jeudi 13 juillet. L’occasion pour les téléspectateurs de retrouver Audrey Fleurot. Comme toujours, cette dernière a fait l’unanimité.
« À 16 ans, j’étais laide »
Dans HPI, Audrey Fleurot joue un personnage assez excentrique, totalement à l’aise avec elle-même et qui n’a pas sa langue dans sa poche. En revanche, la réalité n’est pas forcément la même pour l’actrice.
La sublime jeune femme a fait des confidences au sujet de ses gros complexes. Il y a quelques années, elle avait déjà fait des révélations sur le sujet. Elle avait lâché : « Adolescente, j’étais très laide » .
Avant d’ajouter aussi : « Comme je suis myope, je portais des lunettes avec des verres épais comme des culs de bouteille qui me faisaient des yeux minuscules, deux appareils dentaires, je faisais trente kilos de plus« .
Et de préciser également : « Et je me lançais dans des recherches capillaires improbables » . Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Audrey Fleurot est toujours très dure envers elle, des années après.
Dans une interview accordée à ELLE, elle n’a pas changé d’avis. Elle a indiqué : « À 16 ans, j’étais laide. Vraiment laide. (…) J’avais (…) un appareil dentaire et des coupes de cheveux approximatives » .
« Je me suis construite comme la moche rigolote »
Audrey Fleurot (HPI) a aussi révélé : « À ce niveau-là, mon adolescence a été dure. Je me souviens de mes cousines, toutes plus ravissantes les unes que les autres. Et moi, en pâmoison devant des garçons pour le moins désagréables » .
Avant de se rappeler : « Je me souviens d’humiliations » . Cette période était tellement douloureuse pour la jeune femme qu’elle a « détruit toutes ses photos d’avant ». Pour Psychologies, Audrey Fleurot s’est livrée à coeur ouvert.
L’actrice de HPI a déclaré : « J’étais rousse, ronde, myope, avec des lunettes à triple foyer, et j’ai porté des bagues pendant je ne sais combien de temps » . Elle estime avoir « tout pour devenir le souffre-douleur de l’école ».
Audrey Fleurot s’est aussi souvenue : « J’ai fait le clown, j’ai eu les cheveux en brosse, j’ai porté des lunettes de secrétaire des années 1950 totalement improbables à 8 ans… Quitte à ne pas passer inaperçue, revendiquons-le » .
Elle a aussi révélé : « Donc je me suis construite comme la moche rigolote« . Un jour, elle a rencontré une personne qui l’a aidée. Cette dernière lui a notamment permis de régler sa boulimie.
Audrey Fleurot a battu la boulimie
Audrey Fleurot (HPI) a indiqué : « Le transfert affectif m’a permis de régler mon problème de boulimie et j’ai commencé à mincir » . Sa venue en école de théâtre l’a également beaucoup aidée.
La comédienne a précisé : « Ensuite, quand je suis entrée à l’école de théâtre, j’ai vite compris que si je ne voulais pas être cantonnée aux rôles de grands-mères ou de mères, il allait falloir perdre encore du poids« .
Elle a donc eu un déclic. Audrey Fleurot a expliqué : « Et je me suis mise au sport. Depuis, j’en fais quasiment tous les jours » . De plus, son enfance lui a permis à inculquer certaines valeurs à ses fans.
« Étant petite, je me suis aussi ennuyée et je sais à quel point l’ennui permet le rêve et nourrit la créativité. (…) J’essaie de leur inculquer ça. Pourquoi les stimuler sans cesse, les rendre performants ? Moi, ça m’angoisse » .
Avant de préciser aussi : « Je ne force pas mon fils à suivre des cours d’anglais ou de piano. J’ai envie qu’il prenne son temps » . Audrey Fleurot laisse donc ses enfants vivre et les laisser faire leur propre chemin !
Source: Tuxboard