Sophie Marceau cash sur Gérard Depardieu : "Mon poing dans la gueule"
Placé en garde à vue après avoir été accusé de viol par Charlotte Arnould, Gérard Depardieu n’est clairement pas sorti d’affaire. Le comédien a en effet par la suite été visé par deux autres plaintes de deux présumées victimes différentes. De quoi expliquer l’indignation des associations de défense des droits des femmes qui n’ont pas hésité à le lyncher sur les réseaux sociaux. Certaines d’entre elles sont même allées jusqu’à boycotter les différentes représentations entrant dans le cadre de sa tournée nationale. Face à l’ampleur de la situation, les avocats de l’acteur ont rapidement répliqué en publiant un démenti. Des mots qui remettent en cause ces accusations dont il fait l’objet : « Cette version des faits est délibérément incomplète et fausse ». Sophie Marceau n’est quant à elle pas du tout de cet avis.
Sophie Marceau particulièrement remontée contre l’acteur
Raphaëlle Bacqué et Samuel Blumfeld, tous les deux journalistes au Monde se sont donc, le 19 juillet dernier, penchés sur ce sujet épineux. Ils sont ainsi revenus sur les relations entretenues par Gérard Depardieu et Maurice Pialat en 1985. L’occasion pour Sophie Marceau d’évoquer l’ambiance tendue qui régnait à l’époque sur le tournage du film « Police ». « Le réalisateur et l’acteur principal peuvent se permettre, sans que personne ne dise rien. Des comportements considérés ailleurs comme inadmissibles » a-t-elle déclaré dans un premier temps.
D’après Sophie Marceau, Gérard Depardieu prenait un malin plaisir à l’humilier. Elle se souvient notamment de cette fois où l’acteur avait fait exprès de consommer des escargots juste avant une scène intime. Il aurait fait cela afin d’avoir une haleine fétide au moment d’embrasser la jeune actrice. D’ailleurs, ses révélations ne s’arrêtent pas là. Le papa de Julie Depardieu aurait également posé ses mains sur des parties inappropriées de son corps alors que ce n’était pas du tout marqué dans le scénario. Toute l’équipe aurait donc souffert de ce genre de comportement inadmissible. Il aurait même touché à plusieurs reprises la poitrine de l’une des habilleuses : « Il n’a jamais osé me toucher devant l’équipe. Sinon, il aurait reçu mon poing dans la gueule. Mais les pauvres habilleuses… ».
Source: NextPlz
