Remco Evenepoel, favori du Giro, à "50-50 avec Primoz Roglic"
Il est redescendu, Remco Evenepoel. De son nuage, après Moins impressionnant mais bien plus dominant : Evenepoel a fait encore mieux que l’an dernier , mais aussi de sa montagne espagnole où il passe le plus clair de son temps, en stage, pour peaufiner sa forme et affûter ses armes en vue d'objectifs qu'il ne rate pour ainsi dire plus jamais. Le prochain se nomme Giro et le verra aux prises avec une tripotée de prétendants à ce maillot rose qui fait tourner la tête. Evenepoel se sait favori du Giro mais il ne considère pas être le seul. En revanche, il prévient : il est plus fort que jamais.
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Je pense que je suis plus fort qu'à la Vuelta, a-t-il dit à quelques médias dont J'ai plus de réserves, plus de force dans les jambes, j'ai plus travaillé le contre-la-montre aussi." Si le champion du monde avait voulu dresser la liste des qualités requises pour triompher du Tour d'Italie, il n'aurait pas fait autrement. Des réserves il en faudra sur trois semaines, la force sera nécessaire pour affronter la très haute montagne transalpine, et les 70 bornes de chrono favoriseront les spécialistes, dont il fait évidemment partie. , a-t-il dit à quelques médias dont L'Équipe , avant de quitter l'Espagne pour l'Italie.." Si le champion du monde avait voulu dresser la liste des qualités requises pour triompher du Tour d'Italie, il n'aurait pas fait autrement. Des réserves il en faudra sur trois semaines, la force sera nécessaire pour affronter la très haute montagne transalpine, et les 70 bornes de chrono favoriseront les spécialistes, dont il fait évidemment partie.
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Dès ce samedi, c'est sur 19 kilomètres qu'il fera parler ses qualités pour déjà prendre du temps à ses adversaires. Tous ses adversaires ? Pas obligatoirement car bien que Remco boxe souvent dans une catégorie à lui, un certain Primoz Roglic (Jumbo-Visma) n'est pas manchot dans l'exercice solitaire. C'est de lui dont se méfie d'ailleurs le plus le Belge : "je pense que c'est du 50-50 pour moi avec Primoz dans les pronostics", juge-t-il. Celui-ci a d'ailleurs remporté leur duel sur le dernier Tour de Catalogne. Et il a encore moins couru qu'Evenepoel en 2023 (14 jours de course contre 22). Preuve que lui aussi se prépare à une grande bagarre.
Reste que le favori numéro un porte bien la tenue irisée et vient bien de Belgique. Tout à la fois parce qu'il avait dominé Roglic sur la Vuelta (même avant l'abandon de celui-ci) et qu'il transforme en or tout ce qu'il touche depuis un an. Remporter le Tour d'Italie serait une suite qu'il veut logique à sa carrière. La prochaine étape s'appellera Tour de France mais pas question d'y penser avant au moins trois semaines et l'arrivée du Tour d'Italie.
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Source: Eurosport FR
