Jarry remplace Laurence Boccolini à " Tout le monde veut prendre sa place " sur France 2
La Deux a trouvé le remplaçant de Laurence Boccolini. Selon nos informations, confirmant celles du journaliste Clément Garin, la chaîne publique va confier les rênes de « Tout le monde veut prendre sa place », son jeu quotidien de la mi-journée, à Jarry. L’humoriste n’est pas un inconnu pour les téléspectateurs de France 2 puisqu’il anime depuis 2022 « Le Big Show », un divertissement dans lequel il tente de réaliser les rêves de son public.
À 45 ans, Jarry devient le troisième animateur de ce format lancé 2006 et incarné par Nagui jusqu’en 2021. Programmé à 12 heures face au mastodonte de Jean-Luc Reichmann, « Les 12 coups de midi », sur TF 1, il occupe une case stratégique, servant de rampe de lancement au « 13 heures ». « Tout le monde veut prendre sa place » rassemble pour l’instant en moyenne près de 1,6 million de téléspectateurs, soit 18 % de l’ensemble du public.
Pour arriver à la tête du programme produit par Effervescence, Jarry a triomphé de plusieurs concurrents. Il y a peu, Samuel Étienne ( « Questions pour un champion »), Jean-Luc Lemoine (« Samedi d’en rire »), Damien Thévenot ( « Télématin ») ou encore Vincent Cerutti, ex-animateur de « Danse avec les stars » sur TF 1, avaient tous tourné un épisode test afin de convaincre la direction de France 2 de leur faire confiance. Idem, côté femmes, pour la Belge Sara de Paduwa et la présentatrice météo, Julia Martin.
Laurence Boccolini n’a tenu que deux saisons
Le diffuseur espère sans doute que Jarry restera aux commandes plus longtemps que Laurence Boccolini. L’ex-star du « Maillon faible » n’a tenu que deux petites saisons, avant de claquer la porte pour cause de relations difficiles avec sa productrice, Simone Harari. « Ce fut une très belle aventure de deux ans, où j’ai pu vivre de formidables moments auprès de tant de candidats. Cet exercice me remplit de joie à chaque fois. J’en garderai de très bons souvenirs », avait-elle néanmoins salué à l’annonce de son départ.
Source: Le Parisien